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Publié le par Peggy

Je suis de retour du Sri Lanka et en ai bien profité pour lire. A part quelques magazines en français et en anglais, dont je vous ferais grâce des titres - parce que tout le monde connaît mes goûts hautement intellectuels en matière de presse - j’ai relu Rupture de Contrat de Harlan Coben et Une faim d’égalité de Richard Wright. Et j’ai commencé également Saga de Tonino Benacquista, mais celui-là fera l’objet d’un post plus tard.

Premier de la série avec Myron Bolitar (il y en a 7 en tout, dont seulement 4 traduits en français). Ex-joueur de basket, ex-agent de la FBI, et maintenant agent sportif, il résout des enquêtes avec ses acolytes, Win et Esperanza. Harlan Coben nous emmène dans une enquête bien ficelée qui suit un train d'enfer où les rebondissements sont nombreux et les connexions importantes. La première fois, j’avais moyennement accroché avec le style et le langage un peu cru des personnages. En le relisant, c’est clair que c’est prenant et qu’on accroche dés le début. Allez, j’attaque les autres !

 Suite de Black Boy publié en 1944. La première partie de son autobiographie raconte son enfance dans le Sud des États-Unis, en tant qu’enfant noir. Le livre remporta un immense succès. Sur la suggestion de son éditeur, Wright réserva pour un volume à venir le récit de sa jeunesse à Chicago, Une faim d'égalité. Il dresse un tableau sans indulgence de l'Amérique des années 30, de sa lutte quotidienne pour survivre lors du krach économique de 1929 et condamne sans appel le racisme. Il retrace ses débuts d'écrivain, ses démêlés avec les communistes et sa découverte des chefs-d'œuvre de la littérature. J’ai été plus touchée par Black Boy que par sa suite, trop axé, á mon avis, sur ses problèmes avec les communistes. Les difficultés du quotidien y sont moins présentes. Reste un témoignage bouleversant d’un homme meurtri par le racisme et les injustices.

 

 

Publié dans Bouquins

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A
Tu vois, je t'avais dis (écrit ?) qu'il fallait s'accrocher à Myron !<br /> See ya on February !
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